L’apprentissage de deux garces békés en Guadeloupe
Un jour elles ont dit comme à leurs parents que ça serait bien qu’elle aillent étudier en Guadeloupe la culture de la banane, que ça serait bon pour leur formation vu qu’elles font des études d’horticulture. Sans moufter les parents ébahis devant tant de détermination ont lâché les biftons histoire que les morveuses aillent se culturer sur Grande-Terre là où que sont les bananeraies et autre réjouissances antillaises. Et comme ces jeunes filles sont prévoyantes, elles ont pris soin de se faire dépuceler par des potes de lycée histoire de visiter l’île plus sereinement et profiter vite fait des occasions qui pourraient se présenter.
Ces deux jeunes gamines ne manquent pas de cran.
Arrivées à Pointe-à-Pitre, les pisseuses ont tout de suite pris le tacas direction Saint-François. Sur le chemin, les effluves chargées ont commencé à sérieusement leur exciter leurs petites boites d’amourettes. La bonne banane jaune, celle qui te nourrit un homme pourra attendre qu’elles se sont dit; un autre job les attendait (du genre blow job si tu vois ce que je veux dire) bien plus sérieux et pour le moins original : s’agissait de vérifier à la source que la banane noire présentait plus d’intérêt à la consommation courante des jeunes filles en fleurs, que la jaune qui trop molle ne pouvait servir qu’à se la carrer dans l’oignon.
La place du sexe en Guadeloupe entre les blanches békés et les noirs
Comme nos deux merdeuses ont de la suite dans les idées on les retrouve en fin de journée à faire leurs cours du soir avec la banane du gardien créole de la résidence qui n’en demandait pas tant : 2 petites garces békés accrochées à son bambou, c’est pas tout les jours qu’on voit ça !! Nos petites garces en quête de culture antillaise ont pu vérifier pour ce premier sujet d’étude que de ce fruit tropical pouvait gicler une sève au goût de canne à sucre bien plus excitant pour leurs papilles que le jus de couilles de leurs potes métropolitains !!
A propos de la rédactrice :
Taulière de la rédaction, animatrice d’annonces, la Maxi Meuf est aussi expérimentée dans le maniement des lettres que dans celui du chibre. Le jour à taper sur son clavier, la nuit à se faire orgasmer …