Une jeune fille nue chez elle pour trouver un amant
Pour cette jeune fille nue chez elle, laissant ses tomates, j’attrapais alors les lobes de son petit cul. A pleines mains autour de ses belles fesses nues, découvrant ainsi une raie aux effluves sucrées, ma langue entreprit un anulingus. Se penchant en avant, elle ouvrit plus grand son entrée anale pour l’offrir à mon serpent à tête rouge : ce fut pour moi la découverte de son moi profond qui disait sans cesse qu’il fallait que je la baise.
Une jeune fille nue exhibe ses belles fesses
J’avais répondu à sa petite annonce sans savoir où je mettais les pieds. Elle disait qu’elle était en train de suivre une formation pour être professeur de fitness dans un club de sport. Qu’elle aimait le sport en général, comme le sport en chambre, même si elle préfère le pratiquer en extérieur quand il fait beau, les rayons du soleil dardant son cul. C’est une activité que j’ai toujours aimé faire me disait-elle, il faut dire que je suis particulièrement agile avec mon corps et avec mon cul. Tu pourras peut-être bientôt le vérifier par toi-même juste ne me mettant à quatre pattes pour faire de moi ta jument docile, ta petite pouliche.
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Des paroles qui respiraient la poésie trompeuse car ce qu’elle voulait en réalité, c’est que je lui lèche le trou du cul, que je glisse ma langue dans son anus avant de l’enculer sans ménagement. J’ai pris le temps de lui expliquer qu’il était inutile de tourner autour du pot, que l’anulingus était une de mes spécialités, que jamais je n’envisagerai de sodomiser une fille sans la préparer dans les règles de l’art. D’ailleurs, ne m’étais-je pas fait la main les mois précédents sur la mère d’une copine, une cougar qui avait des besoins coquins à combler. Pour ce faire elle postait sur son blog une photo de femme mature en chaleur sur laquelle je suis tombé. Je mes suis d’abord pignolé en solo avant de prendre le taureau par les cornes et la cougar par le cul, au sens propre comme au figuré.
Puis c’est ma langue que je passais dans ses belles fesses nues
Sans pouvoir me rassasier de ses offrandes culinaires et charnelles. Enervé par les effluves félines et lourdes de ses entrées brûlantes, je rentrais en elle en effleurant ses petites tomates tendus avec le bout de ma langue. Son cul dégageait une légère odeur musqué qui me fit bander comme un taureau. Il fallait au moins ça car Mia quand tu la baises, il faut vraiment lui rentrer dedans …
A propos de la rédactrice :
Taulière de la rédaction, animatrice d’annonces, la Maxi Meuf est aussi expérimentée dans le maniement des lettres que dans celui du chibre. Le jour à taper sur son clavier, la nuit à se faire orgasmer …
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